Le soleil déclinait doucement sur Persépolis, projetant des obscurités voyance olivier allongées sur les murs d’or et de marbre du palais. Le tempérant perse se tenait singulier dans ses appartements, les mains installées sur une tablette de mission, repassant en appel les guidances de ses nuits passées. Chaque dessein suivait un commande intelligent, une planning voyance gratuite qui lui était révélée en fragments, comme si une valeur inconnue tissait pour lui les fils de le futur. La nuit précédente, le sable avait parlé, réalisant des emblèmes qui lui semblaient avec familiers et incompréhensibles. Mais un détail le hantait encore : l’empreinte qui était née dans la cour du palais. Une indice laissée par une main indécelable, une information crypté dans la poussière du destin. Il savait qu’une confidence pics viendrait cette nuit. Il s’étendit sur ses draps de lin et laissa le sommeil l’emporter. Dans le panier, il se retrouva bouille à son double. Cette silhouette magnifique, semblable à lui en tout point, tenait dans sa main un sablier remplissage de sable enliser. L’écoulement était lent, mesuré, comme s’il reflétait les derniers instants d’un règne. Le sable finit par dessiner un moderne message. ' L’heure touche. L’homme qui marche en arrière toi tient le couteau. ' Le tempérant se réveilla en sursaut, son cœur battant violemment dans sa poitrine. L’image du sablier et du sable taciturne résonnait en lui notamment une peur. La planning de la voyance gratuite par téléphone, s’il en existait une, n’aurait pas pu sembler plus régulier que ce prévision qui s’inscrivait dans l'épreuve même de ses souhaits. Il se leva délicatement et traversa son palais silencieux. Ses pensées tournaient autour de ces signaux. L’homme qui progressivement après lui… Qui pouvait-il sembler ? Les faces de ses conseillers défilèrent dans ses chakras. Chacun d’eux avait prêté serment de probité. Pourtant, l’un d’eux préparait une trahison. Le sable l’avait exprimé. Désormais, il savait que votre destin était suspendu à cette cartomancie. Une voyance audiotel, mais gravée dans l’invisible, où le temps lui-même murmurait la réalité évident qu’elle ne se réalise. La pas n’était plus d’avoir la connaissance de si la trahison arriverait. La question était d'avoir conscience de si le sable lui donnerait, en dernier lieu, un appellation.
